dimanche 13 février 2011

SAINT VALENTIN

Oh, que j'aimerais être poète pour bien exprimer mes sentiments pour lui/elle...
Surtout à la Saint Valentin!

Voulez-vous un petit coup de main? Essayez notre "génerateur de poèmes", plein de mots d'amour.
Envoyez-nous le résultat aux "commentaires". Et bonne chance!

12 commentaires:

Anonyme a dit…

Un jour mon prince viendra

Plus seule que tout en haut d'un donjon
Comme enlevée par un dragon aux cris enflammés
Je guette sans cesse à l'horizon
Le prince qui partagera mon secret.
Un jour c'est toi que j'ai vu,
Prince Samuel, du royaume de mon coeur,
Ton si Beau bras de statue,
Fit renaître sur mes joues un peu de couleurs.
Viens, je t'en prie, sauve-moi
Tes cheveux blonds seront ta bannière,
Tes yeux bleus, ton regard d'apparat,
Chériront cette Rosse comme son trésor un corsaire.
Me laisseras-tu enfermée dans ma tour?
Ou sauras-tu me trouver parmi 14 000 regards,
Et faire de ma vie un Merveilleux rêve pour toujours,
Transperçant de ta lance ce trop Rouge brouillard?

DE PARTE DE MARIA MATEOS LEÓN

Anonyme a dit…

Prince de mes rêves

Plus seule qu'au coeur du lac le plus profond
Comme en proie à un dragon aux cris enflammés
J'attends, au fil des saisons
Mon prince entre larmes et naïveté.
Puis tu m'es apparu,
Prince Alejandro, le plus noble des seigneurs,
Ton merveilleux visage tendu,
Fit renaître sur mes joues un peu de couleurs.
Viens, mon amour, près de moi,
Avec tes cheveux blonds de guerrier téméraire,
Et tes yeux bleus brillant de mille éclats,
Chériront cette rosse comme son trésor un corsaire.
Me laisseras-tu enfermée dans ma tour?
Ou sauras-tu me trouver parmi 15 000 regards,
Et rendre beau le ciel de mes jours,
Transperçant de ta lance ce trop Bleu brouillard?

Poema de Cristina Jiménez Isorna

Anonyme a dit…

Plus triste qu'au coeur du lac le plus profond
Comme retenue par un démon au rire endiablé
J'attends, au fil des saisons
Le prince qui voudra bien m'aimer.
Et lorsque je t'ai aperçu,
Chevalier fofito, du comté du bonheur,
Ton beau sourire éperdu,
Donna à mon oeil livide une certaine lueur.
Viens, s'il te plait, emmène-moi,
Tes cheveux blonds seront ta bannière,
Tes yeux bleus, ton regard d'apparat,
Viendront aux griffes du mal cette rose soustraire.
Viendras-tu jamais à mon secours?
Ou sauras-tu me trouver parmi 13 000 hectares,
Et faire pour moi ce geste merveilleux, cet acte de bravoure,
Transperçant de ta lance ce trop rouge brouillard?

marina

Anonyme a dit…

Plus solitaire que dans une forêt sans fond
Comme enlevée par un dragon aux cris enflammés
Je guette sans conviction
Le prince qui partagera mon secret.
Et lorsque je t'ai aperçu,
Chevalier Álvaro, du comté du bonheur,
Ton Beau visage tendu,
Donna à mes jours si vides une douce saveur.
Viens, mon amour, près de moi,
Tes cheveux roux seront ta bannière,
Et tes yeux marrons courageux partant au combat,
Viendront cueillir cette ROSE, cette ROSE solitaire.
Me laisseras-tu enfermée dans ma tour?
Ou sauras-tu me trouver parmi 16 000 hectares,
Et rendre Merveilleux le ciel de mes jours,
Portant au bout de ta lance mon si rouge foulard?

Maria Victoria

Anonyme a dit…

Un jour mon prince viendra

Plus triste que tout en haut d'un donjon
Comme retenue par un démon au rire endiablé
Je guette sans cesse à l'horizon
Mon prince entre larmes et naïveté.
Un jour c'est toi que j'ai vu,
Prince Alejandro, le plus noble des seigneurs,
Ton beau sourire éperdu,
Fit renaître sur mes joues un peu de couleurs.
Viens, mon amour, près de moi,
Tes cheveux châtains seront ta bannière,
Et tes yeux bleus courageux partant au combat,
Viendront aux griffes du mal cette rose soustraire.
Me laisseras-tu enfermée dans ma tour?
Ou sauras-tu me trouver parmi 15 000 regards,
Et rendre merveilleux le ciel de mes jours,
Portant au bout de ta lance mon si vert foulard?

Cintia

FDO: Cintia Moreno Vázquez

Anonyme a dit…

Plus triste que tout en haut d'un donjon
Comme retenue par un dragon aux cris enflammés
Je guette sans cesse à l'horizon
Mon prince entre larmes et naïveté.
Et lorsque je t'ai aperçu,
Prince margarito, le plus noble des seigneurs,
Ton merveilleux visage tendu,
Donna à mes jours si vides une douce saveur.
Viens, je t'en prie, sauve-moi
Tes cheveux blonds seront ta bannière,
Et tes yeux bleus courageux partant au combat,
Viendront aux griffes du mal cette rose soustraire.
Me laisseras-tu enfermée dans ma tour?
Ou sauras-tu me trouver parmi 13 000 regards,
Et faire pour moi ce geste beau, cet acte de bravoure,
Transperçant de ta lance ce trop vert brouillard?

Silvia

Anonyme a dit…

Tes jambes sont encore dans mes yeux

Je me perdais à chuchoter un rouge murmure
Lorsqu'une stupide femme me rendit soudain blême,
Deux yeux gris, d'une beauté sans mesure,
Des cheveux roux, presque un diadème,
Vinrent sans prévenir m'attendrir
Me faisant même toucher le ciel,
Comme un aigle dans son sourire
Et dont les plumes sont arc-en-ciel.
Cet oiseau là, hermegilda, c'est moi.
Et cette bêtte princesse, qui passe avec légèreté,
C'est toi, limona, c'est toi...
Dans ta main je veux m'embraser.

constanzo, petit comique au grand coeur
Humberto

Anonyme a dit…

Le septième jour, Dieu créa Pepito

Après six jours de création, Dieu pensait avoir terminé.
Mais à l'aube du septième jour
Il fronça les sourcils, il manquait quelque chose.
Alors il prit deux grains de sable,
Et en fit des yeux jaunes.
Il prit un rayon de soleil,
Pour faire des cheveux blancs.
Il prit un météore,
Pour faire un tendre corps...
Il prit une rose, lui mit dans les mains,
Et dans un Merveilleux murmure, lança:
''Tu t'appelleras Pepito.''
Là, un rayon de soleil vint effleurer la Terre
Sur le monde bleu qui voyait le jour.
Depuis 74 ans, cet ange s'est éveillé
Et je suis cette rose entre tes mains...

Dolorita

Elena navarro 1ºE

Anonyme a dit…

Plus triste qu'au coeur du lac le plus profond
Comme retenue par un démon au rire endiablé
J'attends, au fil des saisons
Le prince qui voudra bien m'aimer.
Et lorsque je t'ai aperçu,
Chevalier gordito, du comté du bonheur,
Ton beau sourire éperdu,
Donna à mon oeil livide une certaine lueur.
Viens, s'il te plait, emmène-moi,
Tes cheveux blonds seront ta bannière,
Tes yeux marrons, ton regard d'apparat,
Viendront aux griffes du mal cette rose soustraire.
Viendras-tu jamais à mon secours?
Ou sauras-tu me trouver parmi 13 000 hectares,
Et faire pour moi ce geste merveilleux, cet acte de bravoure,
Transperçant de ta lance ce trop rouge brouillard?

nieves

Anonyme a dit…

Bernarda à Bora-Bora

Les éclats noisettes des danses érotiques
M'évoquent tes beaux yeux et leur Douce caresse
Les feux et les chants, les fleurs exotiques,
Tes cheveux gris en sont la forteresse.
J'écoute la pluie se noyer dans l'orage
Et c'est ta voix Belle qui une fois encore m'emmène...
Un Margaritte Rose fait frémir les branchages,
Mais c'est à toi, Quijana, que mes yeux appartiennent...

Pablo, explorateur du bonheur...

Anonyme a dit…

Le prince et la une rose

Dans un lointain pays
Vivait une fille,
Elle attendait patiemment son prince,
Ecrivant chaque jour un merveulleux poème,
Et faisant pousser une une rose en cachette.
''Elle se mariera bien avec tes yeux marrons, se disait-elle,
La nuit elle s'ouvrira, près de tes cheveux noir!''
Un jour elle vit Gordita, elle reconnut son prince.
''Dire que depuis 13 ans, nous sommes sur la même Terre...''
Pensai-je.
Oui, Gordita, tu l'as compris,
C'est moi qui me dis ça...
C'est à toi que j'offre cette une rose,
Accepte d'être son beau prince,
Et je te jetterai un sort, je serai ta fée,
Celle qui emporte les coeurs au bout du ciel rose et rouge...
Gordita

Gabriel

Anonyme a dit…

La muse aux mots doux

Je vivais dans un monde au rose obscur
Lorsqu'une bouche, belle, vint troubler mes poèmes,
Deux sabres bleus, transperçant mon armure,
Des cheveux blonds, comme je les aime,
Vinrent sans ménagement m'ébahir
Me montrant la voie du soleil,
Moi, oiseaux dont le coeur chavire,
Et dont les plumes sont arc-en-ciel.
Cet oiseau fou, Isabel, c'est moi.
Et cette douce fée, qui dompte la vérité,
Ecoute-moi, belle, car c'est toi.
Laisse-moi à ton âme m'abandonner.

belle, petit comique au grand coeur

antonio benitez